Python

Nathalie s’est prise d’une fascination pour le code ! Il faut bien choisir, ce sera Python. Elle veut comprendre, apprendre, appréhender cet univers.

- Au fond, dit Margaux, le bad boy et le codeur, ce n'est pas si différent, tu sais. Le codeur pense qu'il n'apprend rien au lycée. En classe, il coupe la parole, il s'impatiente, parce qu'il a l'habitude de résoudre tous ses problèmes tout seul. Ce n'est pas du tout Agnan, le chouchou de la maîtresse, il est plus coriace que ça et d'ailleurs, la maîtresse ne l'aime pas.
Python de Nathalie Azoulai

Si l’idée est plutôt sympa, le bouquin finit par devenir laborieux lorsqu’il se perd à retracer l’historique de l’informatique.

Et de l’éblouissement, il ne reste finalement que quelques miettes entremêlées aux pensées et relations de l’autrice

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Nous nous apprêtons à déjeuner sur la terrasse de notre ami Pierre, nous sommes une dizaine de convives. C'est un beau jour de juin, ensoleillé, pas trop chaud, un jour qui donne envie de vivre longtemps.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Les machines du monde tournent grâce à des programmes informatiques qu'on appelle le code. J'ai passé l'âge mais je veux apprendre à coder. En Python, à cause du nom, mais surtout pour comprendre ce qui se passe sous les doigts des codeurs qui pianotent jour et nuit. Car les codeurs sont optimistes, à défaut d'aimer la vie, ils aiment le futur, l'avenir commence ici.

- Très bien, alors écris un biopic, l'histoire d'un codeur qui fait fortune, ce sera romanesque, les gens aiment ça.

- Non, je veux comprendre comment ça marche.

Par où commencer ?

Je ne sais pas, je me noie, mais Python m'obsède alors je m'obstine. Je prends des cours, je me faufile parmi des bataillons de geeks. Python devient le nom d'une initiation, de cette soute où je descends pour mieux voir vivre entre eux les garçons.